Le groupe Veolia a l’ambition de devenir l’entreprise de référence de la transformation écologique. Pour ce faire, il déploie et conçoit des solutions utiles et concrètes pour la gestion de l’eau, des déchets et de l’énergie. A travers ses activités, le groupe contribue à développer l’accès aux ressources, à préserver celles qui sont disponibles ainsi qu’à les renouveler.
Afin de valoriser ses engagements en faveur de la transition énergétique et écologique, Veolia, pour ses activités de recyclage et de valorisation des déchets en Centre-Ouest, fait appel à l’agence B Side qui met en œuvre ses expertises en relations médias, veille et influence.
Au-delà du gestionnaire de déchets, Veolia s’impose désormais comme un acteur dynamique et innovant dans le domaine de la production d’énergie. Le groupe développe des solutions pour dépolluer, préserver les ressources et décarboner aussi bien nos modes de vie que les modes de production afin de les adapter aux conséquences du dérèglement climatique. Un changement de paradigme et une transformation écologique que Veolia RVD Centre-Ouest souhaite communiquer plus largement et plus efficacement en collaborant avec l’agence B Side.
L’enjeu ? Illustrer, incarner et prouver cette transformation écologique en valorisant ses innovations, ses succès pour engager davantage avec ses clients, son écosystème et le grand public.
Depuis de nombreuses années, l’agence B Side accompagne Veolia dans la valorisation de ses initiatives, actions et innovations sur le Centre-Ouest auprès des habitants, des collectivités et de ses partenaires, par l’intermédiaire d’une stratégie de relations médias. Un plan d’actions RP assurant une présence médiatique régulière au niveau régional ainsi qu’une relation pérenne avec les journalistes locaux est ainsi mise en place à cet effet. Les objectifs étant d’inscrire Veolia comme une référence et un interlocuteur expert pour les journalistes sur des sujets de transformation écologique, de transition énergétique, de traitement et de valorisation des déchets, d’économie circulaire…
Pour ce faire, l’agence médiatise les sujets d’innovation comme des portraits métiers de collaborateurs engagés. A l’image de l’inauguration d’une unité de tri et de valorisation de matelas réalisé en partenariat avec une entreprise d’insertion, pour une économie sociale, solidaire et circulaire. Ou encore d’une invitation aux médias locaux à suivre une collecte de déchets afin de sensibiliser les citoyens au métier d’agents de collecte et aux enjeux derrière le traitement des déchets.
Afin de permettre aux membres du CODIR de Veolia Centre-Ouest de renforcer leurs connaissances du tissu économique et institutionnel de leurs territoires clés, B Side a développé une lettre de veille mensuelle.
Grâce à cet outil qui croise veille concurrentielle, territoriale et sectorielle, les destinataires repèrent les éventuelles opportunités, identifient les leaders d’opinion, maîtrisent le contexte d’appels d’offres futurs, surveillent leur écosystème et détectent les potentielles menaces.
Pour aller plus loin, et passer d’une logique de présence à une logique d’influence qui contribuerait à booster la visibilité de Veolia sur le Centre Ouest, l’agence B Side a élargi son accompagnement. Elle apporte désormais ses compétences sur le volet social media à Veolia et ses porte-paroles au travers du leader advocacy. Une manière de partager les messages engagés du groupe, en s’appuyant sur des illustrations terrain, et en cohérence avec les expertises de chaque leader.
En permettant à ses experts, qui évoluent dans les mêmes « bulles » que ses publics cibles, de représenter et d’incarner Veolia, le groupe améliore la visibilité de ses messages et leur résonnance avec ses audiences cibles, favorisant des échanges plus directs. Une personnalisation du discours qui le rend plus accessible et engageant pour ses audiences.
Cinq ans après la promulgation de la loi PACTE, près de 1 700 entreprises ont fait le choix d’adopter la qualité d’entreprise à mission1. Et chaque année, ces dernières doivent réaliser un rapport de mission pour rendre compte de leurs avancées. Mais ce rapport doit-il se résumer à un exercice de reporting ? Voici quelques conseils pour faire de votre rapport de mission un outil de communication utile.
À l’ère de la responsabilisation de la communication, les impacts environnementaux et sociaux des supports et canaux sont au cœur des discussions. S’ils sont plutôt évidents à calculer pour un objet imprimé, ils sont plus complexes à appréhender pour un contenu sur les réseaux sociaux. Alors comment écoconcevoir en social media ? Et est-ce vraiment là où concentrer ses efforts pour avoir un impact positif ?
« Video Killed the Radio Star », d’après la chanson des Buggles. De la même manière, on pourrait penser que les newsletters, intranets et autres applications destinées aux collaborateurs ont sonné le glas du traditionnel journal interne. Et si on ne pose pas la question de son utilité, effectivement, il est mort et enterré. En revanche, si on fait le choix de l’intégrer dans une stratégie de communication interne réfléchie, il peut devenir un outil redoutable pour bichonner sa marque employeur et fidéliser ses collaborateurs. Un outil utile, donc. Et comme l’utilité, c’est notre maître-mot, chez B Side, j’ai voulu partager avec vous cinq questions à se poser pour élaborer une stratégie de communication interne efficace et faire de son journal un outil au service de la transformation de l’entreprise.